19. Comptines

La Révélation Ajouter un commentaire

Lire et écrire

Séphora avait retrouvé dans le repas du vendredi soir quelque chose de la petite cérémonie qu’ils avaient organisée le soir où elle avait su qu’elle était enceinte, le Précepteur retrouva dans la journée du Chabbat quelque chose de l’atmosphère studieuse des jours où, avec l’Instituteur, ils avaient mis en ordre les vingt-deux lettres.. Dès le matin, hors la présence de Séphora, l’Orfèvre lui avait présenté un jeune homme, dont il avait remarqué la veille qu’il jouait un rôle de moniteur, battant la mesure, guidant les chants, enchaînant les refrains. C’était un privilège de famille riche que d’employer un tel serviteur.

- « Monseigneur, voici le Répétiteur chargé de l’éducation de mes enfants. C’est lui qui te conduiras à qui tu sais, et dont il tient sa science. Et ne t’inquiète pas, comme toi, il peut se faire remplacer ! »

Le Répétiteur s’inclina, manifestement fasciné par la ressemblance de son vénéré Maître et de ce Prince dont il baisait la bague, insigne de rang royal.

- « Tu es en somme mon collègue, sourit le Précepteur. Combien as-tu d’élèves ? »
- « Cela va de deux ou trois, pour les leçons compliquées, à une bonne trentaine, toute la maisonnée et le voisinage, pour les chorales et les récitations. »
- « Qu’appelles-tu leçons compliquées ? »
- « Celles d’écriture »

Il disait ketoubot, les écrits. La ketoubah, c’est l’acte écrit, en particulier le contrat de mariage que les pères des fiancés signent avant la cérémonie de mariage. Le verbe KTB, écrire, d’où vient l’arabe mektoub, c’est écrit, apparaît plusieurs fois dans l’Exode : soit YHWH Soi-même, béni soit le Nom, ordonne à Moise d’écrire, KTB, soit Il rappelle ce qu’Il a écrit, comme en 24,12, à propos des Tables qui portent « la Loi et le Commandement », WHTWRH WHMZWH, vehaTorah vehaMitzvah.

- « Peux-tu me montrer, cher collègue ? ». Le Répétiteur se récria :
- « Écrire ? certainement non, Monseigneur, Chabbat haYom, c’est Chabbat aujourd’hui. Mais je peux te montrer les lettres dont nous nous servons, et les textes de quelques chants ou récits. »

Bien sûr ! Ecrire est un acte positif, comme allumer une torche, interdit pendant le Chabbat. Mais lire, regarder un écrit, c’est comme être éclairé par une lumière allumée avant Chabbat, c’est licite, et même recommandé. Ainsi le Précepteur se retrouva avec le Répétiteur dans la situation où il s’était trouvé plusieurs fois avec l’Instituteur, dans la Capitale, les jours de congé de Gerchom, devant des piles de tablettes d’images, illustrant des mots ou de petits textes. Mais cette fois, une ribambelle d’enfants les entouraient, très fiers de connaître déjà ce que le Répétiteur expliquait à leur hôte princier..

- « Combien de lettres différentes utilises-tu ? »

La question troubla le Répétiteur. Il ne saisissait pas bien la notion de lettre ; il parlait plutôt de signes, aux fonctions variées. Grosso modo, il y en avait une bonne cinquantaine, à peu près ce qui figure aujourd’hui sur un clavier de machine à écrire ou d’ordinateur, mais fallait-il distinguer par exemple les flèches selon leur direction ? Le Précepteur s’y prit autrement.

- « Bon. Imagine que je sois un ignorant, un débutant. Par quoi commences-tu ? »

Une clameur lui répondit. Les enfants présents répondaient en chœur :
- « Yad, Dam, Maym »

Le Répétiteur présentait en effet trois tablettes, correspondant à ces trois mots, « main », « sang », « eaux ». Le précepteur se souvint qu’avec Séphora, il avait aussi commencé par ces mêmes mots. Mais leur graphie était assez différente. Le mot « Yad » figurait une main stylisée, avec le pouce à gauche, pour le son « ye », et un rectangle à droite, divisé sommairement en quatre tranches, pour les quatre doigts et le son « de ». Une sorte de parenthèse horizontale, sous les deux signes, figurait le poignet et indiquait aussi qu’il s’agissait d’un seul mot. Le Précepteur pensa aux hésitations qu’il avait eues pour savoir si le Dalet valait trois ou quatre, et se trouva confirmé d’avoir finalement choisi quatre. De plus, la forme rectangulaire choisie ici pouvait aussi convenir pour une porte, dalet.

Le mot « Dam » avait à gauche le même rectangle des quatre doigts mais le dernier doigt à droite était tronqué, comme cassé, et les vagues du M figuraient clairement le sang qui s’écoulait de la blessure. Une parenthèse, cette fois inclinée vers la droite, joignait les deux symboles. Quant au mot « Maym », que le Précepteur écrivait MYM, il était figuré par une sorte de baquet rectangulaire, divisé par une paroi de la même forme que le pouce de « yad », des deux côtés de laquelle ondulaient les M figurant l’eau étale.

De plus, sur les trois tablettes, sous chaque mot, figurait une autre façon de l’écrire, sous forme cursive, avec des lettres liées. L’écriture, chez les Hébreux, était un art difficile, s’apparentant plutôt au rébus, comme dans les écoles mandarinales chinoises. Le Précepteur devinait confusément que les initiatives qu’ils comptaient prendre, lui et l’Instituteur, en s’inspirant de l’école de Gerchom - simplifier les formes d’un nombre limité de lettres-sons, stabiliser l’ordre alphabétique pour en rendre commode la récitation par cœur – étaient de nature à en faciliter considérablement l’enseignement et à en généraliser l’usage. Une idée lui vint. Il demanda au Répétiteur :

- « Peux-tu me montrer comment tu écris Yehi ‘Or, que la lumière soit ? »

Sur deux tablettes figurait une élégante écriture cursive, semblable à celle des versets du Coran calligraphiés bien plus tard sur les monuments musulmans. Le Répétiteur en brandit une, la montra à un garçon d’une douzaine d’années, apparemment son meilleur élève, et lui lança : « Proclame ! ». D’une voix forte, celui-ci s’exécuta fièrement : « Yehi ‘Or » énonça-t-il sur le ton de la première injonction de l’Orfèvre, la veille au soir. Le Répétiteur prit alors la deuxième tablette, où figurait le même dessin, précédé cependant d’une ligature en forme de & et la brandit de même : « Proclame ! ». « Yehi ‘Or », répéta le garçon, cette fois sur le ton de la constatation.

QRA, proclamer, est fréquent dans la Bible. Souvent associé à tel ou tel dérivé de (S)M, Chem, nom, il est alors rendu par « appeler », au sens de « nommer ». Ainsi en Genèse 17,19, WQRAT ?MW YZEQ Veqrata Chemo Itshaq, « tu proclameras son nom Isaac » est rendu par « tu l’appelleras Isaac ». Même seul, on le rend par « appeler ». Ainsi dès le premier Jour de la Création, au cinquième verset de la Tora : WYQRA ALHYM LAWR YWM WLE?K QRA LYLH Vayqra Elohim Le’or Yom vela’Hochekh Qara Lailah « Et Il proclama, Elohim, pour la lumière Jour et pour les ténèbres il proclama Nuit » est traduit en général : « Dieu appela la lumière Jour et les ténèbres Nuit ». André Chouraqui, lui, traduit QRA par « crier » : « Elohim crie à la lumière : « Jour ». A la ténèbre il avait crié « Nuit » ». Et de même, au lieu de « Tu l’appelleras Isaac », l’impératif : « Crie son nom, Isaac ! »


Beaucoup de versets contiennent WYQRA, Vayqra, « et Il proclama ». Le Lévitique, troisième Livre de Moïse, commence par ce mot, qui est son titre en hébreu. Chouraqui le présente ainsi : « Il crie vers Moshé… Ainsi débute ce volume, avec ces mots dont la racine est voisine du mot arabe Qur’an qui donne en français Coran, le Cri, proclamation publique de la parole d’Allah. » . Selon la tradition musulmane de la Révélation, Mahomet voit les versets danser devant ses yeux et l’ange Gabriel lui intime « Proclame ! ». Certaines traductions du Coran ont pour titre « L’Appel ».

Quand un garde champêtre fait une proclamation, quand un adjudant fait l’appel, ils lisent un document préétabli. C’est pourquoi QRA a aussi le sens de « lire à haute voix », puis de « lire », tout court. Deutéronome 17, 19 dispose que le futur roi d’Israël devra porter sur lui un exemplaire de la Torah et le lire, QRA, tous les jours de sa vie. En hébreu moderne, « savoir lire et écrire » se dit Y?Œ QRWA WKTWB Yada’ Qerou’ ouKetob. Et le Coran, c’est aussi la Lecture.

En français, « lire » et « crier » sont différents. Mais « écrire » est proche de « crier ». Dans le célèbre et pathétique poème que Paul Eluard cria en 1942, au plus sombre de l’Occupation, remplacez donc « J’écris » par « Je crie » puis par « Je lis » :

(…) Sur les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J’écris ton nom (…)

Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l’espoir sans souvenir
J’écris ton nom

Et par le pouvoir d’un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer

Liberté


Ne lit-on que ce qui est écrit ? Les messages reçus par un répondeur téléphonique, sont-ils écrits ? Sur les lèvres, sur le visage, dans le cœur de ceux qu’on aime, qu’est-il écrit ? Revenons donc à la Création du monde. Le Jour Un, «Elohim a lu pour la Lumière Jour et Il a lu pour les Ténèbres Nuit ». Elohim, « Ils », c’est l’Ensemble de toutes les forces, physiques, vivantes et humaines qui nous ont précédés. Pour créer le monde, tel que nous le percevons, «Ils» a lu la Torah. D’où la croyance mystique que la Torah, l’Écriture, est consubstantielle à la Création : l’Idée Unique que chacun se fait du monde se crée par le Cri, l’Appel et la Lecture. Il n’est d’Elohim qu’Elohim..

“Au Commencement était le Verbe
Et le Verbe était auprès de Dieu
Et le Verbe était Dieu
Il était au commencement auprès de Dieu
. Est-ce un texte juif, ou chrétien ?

Plus tard, dans la journée, cette fois en présence de Séphora, le Répétiteur brandit une autre tablette, portant un bâton unique sous lequel figurait le mot Ehad, Un, en caractères cursifs. Il lança à la cantonade, sur un air toujours chanté après le repas du Seder de Pessah’ :

Ehad mi yodéa ? Un, qui connaît ? L’assistance enchaîna en chœur. Le Précepteur avait eu le temps de reconnaître au passage le verbe Y?Œ, yada’, connaître. C’était une comptine pédagogique et ironique, du genre de celles que tous les peuples associent plaisamment au divin, par exemple

Il y a Troyes en Champagne
Il y a deux Testaments
L’ancien et le nouveau
Eau, eau, eau, eau
Ô, ô, ô, ô
Mais il n’y a qu’un cheveu
Sur la tête à Matthieu
Il n’y a qu’une dent
Sur la mâchoire à Jean.

En l’occurrence, il était bien question de dent, d’une dent tranchante, et aussi de la satisfaction béate de celui qui peut dire :
J’ai bien mangé, j’ai bien bu
J’ai la peau du ventre bien tendue
Merci, petit Jésus !

Selon Alain-Abraham Abehsera dans Babel, La Langue Promise (BibliEurope, 1999, p. 147-148), E’had, AE(D), Un, joue avec E(D), ‘Had, qui signifie tranchant, comme dans ERB E(D)H ‘Herev ‘Hadah, « épée tranchante » (Isaïe 49,2) ; (S)NY, Cheney, deux au masculin, renvoie à (S)N, Chen, “dent” ; (S)TY, Chetey, deux au féminin, renvoie à (S)TH, Chatah’, « boire », et à (S)TY, Chty, « beuverie ». Nous voici avec une dent tranchante et la boisson. La satiété alimentaire, elle, c’est (S)BŒ, Sava’, comme (S)BŒ Cheva’, sept. Il y a bizarrement une proximité en hébreu entre « septième », “Chabbat” et « rassasié », comme en français entre « repos », « repas », « repu », apparentés le premier à « reposer », les deux autres à « repaître ».

En Esther 3,15, Assuérus et Aman fêtent la promulgation de l’édit d’extermination des Juifs, et se mettent en sept et deux : Y(S)BW L(S)TWT, ychbou lichtot, ils ripaillent pour boire. Ce livre d’Esther (la « star »), où le Nom d’Elohym n’apparaît pas, fonde la fête de Pourim, des Hasards. L’histoire se passe dans la ville de Suse, ?W?N, Chouchan, dont le nom renvoie à ?W?NH, Chouchanah, le lis, la rose, qui a donné le prénom « Suzanne », et à (S)(S)WN, Sasson’, la joie. Or (S)(S), Chech, c’est « six ». Le refrain QWL (S)(S)WN WQWL (S)YMH, Qol Sasson veQol Sim’ha, « chants (chanchons ?) de joie et chants d’allégresse », utilisé avec regret par Jérémie, désolé de ne plus les entendre, est entonné depuis vingt-cinq siècles dans tous les mariages juifs. La syllabe (S)(S), Chech, six, évoque en hébreu les joies délicieuses de l’union conjugale, mais « sexe », dans les langues latines et anglo-saxonnes, évoque plutôt les voluptés suspectes du plaisir charnel, fruit licite ou défendu, selon l’intention de procréation qui y préside. On comprend pourquoi Vav, la sixième lettre, le double V, W, est à la fois « et », conjonction de coordination et de copulation ; d’interface diront les informaticiens. « Six » est proche de « sexe ». Pourquoi diable « deux » est-il proche de « dieux » ?

Et huit ? Abehsera rapproche (S)MWNH, Chemoné, huit, de (S)MN, Chemen, qui avec diverses vocalisations signifie « huile », « graisse » ou « gras ». L’huile, Chemen, sert à « oindre » M(S)E, machah’, prêtres et sanctuaires dès Exode 29,7 ; le participe M(S)YE (somme des rangs 52) Machiah’, « Oint », a été transcrit en « Messie ». Les huit jours de Hanoukah, fête de l’In-auguration, proches de Noël, commémorent le miracle de la fiole d’huile Chemen qui dure huit Chemoné jours dans le Temple purifié, à partir de quoi Judah Maccabée fonde la dynastie des Hasmonéens, Hachmonaim. Octave, fils du Huitième et de la nièce de Jules César, dit le divin « Auguste », donne ce nom au huitième mois, « août ». « Aug-uste » est de la même racine que « augurer » et « aug-menter ». Huit, c’est Sept, augmenté, engraissé, oint, de Un.

Et trois ? Chaloch ? Abehsera n’en dit rien. C’est que Chaloch est emprunté à “cloche” : “clocher”, c’est tituber. Le clochard marche sur trois pattes, la cloche bat à trois temps : Ding, Dam, Dong.

Essré mi yodéa ? Dix, qui connaît ?
Œ(S)R, Essré, dix, renvoie à Œ(S)YR, ‘Achir, « riche » et Quatre, RBŒ, renvoie à RŒB, Ra’ab, « faim ». Toutes les « chansons à boire » tournent autour de l’idée qu’être riche, gras et joyeux, c’est manger à sa faim ; et que c’est aussi « boire un petit coup » et « tirer un coup », un coup un seul. Avec des dents « coupantes », tranchantes, ED, ‘Had, un seul coup suffit. Écartez les enfants ! Pour eux, l’habitude s’est prise, après le repas du Seder de Pessah’, de réveiller leur attention en chantant douze questions, dont les réponses sont, avec quelques variantes :
Douze, ce sont les douze tribus d’Israël
Onze, ce sont les onze étoiles du rêve de Joseph
Dix, ce sont les dix Commandements
Neuf, ce sont les neuf mois de la grossesse
Huit, ce sont les huit jours de la circoncision
Sept, ce sont les sept jours de la semaine
Six, ce sont les six jours de la Création
Cinq, ce sont les cinq livres de Moïse
Quatre, ce sont les quatre Mères, Sarah, Rébecca, Rachel et Léa
Trois, ce sont les trois Pères, Abraham, Isaac et Jacob
Deux, ce sont les deux Frères, Moïse et Aaron
Un Seul, c’est Adonaï, Créateur des Cieux et de la Terre…

Dans cette énumération, tout est lié à la Bible, sauf les neuf mois de la grossesse. Neuf mois, T(S)Œ E(D)(S)YM Ticha’ ‘Hadachim, qui commencent quand et comment ? « Neuf », en français, c’est « nouveau » : « Sept, huit, neuf… dans mon panier neuf ». En hébreu, E(D)S, ‘Hadach, le mois, c’est le renouveau, celui de la Nouvelle Lune et du Nouveau Croissant.

Au coucher du soleil, une cérémonie plus simple que celle de la veille coupa le Chabbat. En présence de la maisonnée, à la disparition de l’astre, l’Orfèvre alluma une bougie et dit :
« Loué sois-tu, Adonaï notre Dieu, Roi de l’Univers, Qui « mabdiles » entre la Lumière et les Ténèbres, entre le Chabbat et les autres jours, entre le Bien et le Mal ».
« Mabdiles » ? Sur une question du Précepteur, l’Orfèvre avança que la racine B(D)L signifiait « agencer », «organiser ». Ce verbe apparaît deux fois dans la Création du Monde, d’abord pour la lumière et les ténébres, ensuite pour « les eaux au dessus du firmament, et celles qui sont au dessous ». On le traduit aujourd’hui par « séparer » ou par «distinguer ». La clôture du Chabbat est toujours dite Habdalah, HB(D)LH, « séparation ». Mais comment séparer ou distinguer ce qui est certes opposé, mais dont les frontières sont floues et qui se définit l’un par l’autre ? En français, sur la racine B(D)L, nous avons « bidule » et « bidouiller », que nous appliquons aujourd’hui aux mystères et émerveillements de l’informatique. Le Grand Architecte de l’Univers, cher aux Francs-Maçons, n’en serait-Il pas plutôt le Grand Bidouilleur ?

Etre ou ne pas être, telle est la question. Etre ou ne pas être joyeux…, enceinte…, hébreu… ? Où sont les frontières entre riche et pauvre, entre lourd et léger, entre grand et petit… ? Entre le jour et la nuit ? Telles sont les questions.… difficiles à trancher.

Table des chapitres

5 ré:ponse à “19. Comptines”

  1. Tanneguy a écrit :

    La comptine mentionnée dans ce texte : "il y a Troyes en Champagne… etc " comporte d’autres versets commençant par : " il y a dix-putez-vous, il y a Neuf… à la coque…"

    Quelqu’un connaît-il la suite ?

    Merci

  2. Michel Louis Levy a écrit :

    Si je me souviens bien… Il y a Huit-re de Cancale Il y a Sept-épatant Il y a Six-tème métrique Il y a Cinq-Cucufa J’ai un trou pour Quatre !

  3. BaYT Ha(S)eMe(S) a écrit :

    Réponse à la question sur :
    http://pagesperso-orange.fr/olivier.druard/LaClefDesChants/Carnets/Chants/LaTeteAMathieu.htm
    Quant au Midrash, jusqu’ici, je m’accroche (”je m’agrippe” serait plus juste)…
    Be (SiMKa

  4. Michel Louis Levy a écrit :

    Quatre, ce n’est pas “Catherine de Russie”, plutôt que “Catherine de Sienne” ???

  5. BaYT Ha(S)eMe(S) a écrit :

    Effectivement, “Russie” sonne bien mieux à l’oreille… et au souvenir.
    Continuez ainsi (ce Blog) !
    Be (S)èM.

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