La montée des “violences urbaines”, les profanations de synagogues, de mosquées, de cimetières militaires et civils, … tout cela montre l’immense erreur que fut la suppression du service militaire. Il est urgent de le rétablir.
Ce fut la faute majeure de Jacques Chirac de supprimer le service militaire sans le remplacer par quoi que ce soit. L’institution était utile à l’intégration sociale, au développement du sens de la hiérarchie et des responsabilités, à l’éducation au respect du drapeau et de l’hymne national, et accessoirement, au maniement des armes à feu…
Qu’on l’appelle service national, ou service civique, qu’on l’adapte aux jeunes filles et aux temps nouveaux, mais surtout qu’on le rende à nouveau obligatoire. La suppression de nombreuses unités militaires rend d’ailleurs disponibles leurs casernements. C’est le moment d’y installer les nouvelles recrues.
Celles-ci se verraient proposer une vaste palette d’activités : services armés, y compris gendarmerie et police ; services risqués, tels ceux des pompiers, de l’assistance aux sinistrés des catastrophes, naturelles et autres ; interventions humanitaires, y compris à l’étranger ; secourisme routier, renfort aux hôpitaux, protection des routes, des plages, des sites naturels et des monuments publics contre le vandalisme et les dommages accidentels ou provoqués ; prévention des incendies de forêts ; assistance aux personnes isolées ; lutte contre l’illettrisme …
Voir
“Le service civique obligatoire” Extrait de Cent millions de Français contre le chômage (Stock 1992) par Robert Fossaert et Michel Louis Lévy
“Pour un ministère de la Population”
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La Bible hébraïque présentée, traduite (8 versions) sur JUDÉOPÉDIA
et commentée sur le blog
Démographie, Bible et société
le 16 octobre 2012 à 11:54
[...] A l’heure où la société pêche par l’individualisme de ses citoyens, où le communautarisme porte plus haut son drapeau que les Français ne se drapent dans le leur, ne faudrait-il pas réfléchir à nouveau sur la pertinence de cette suppression que plus de six Français sur dix regrettent? Une suppression que certains auteurs qualifient d’ailleurs de faute majeure. [...]